نتمنى ان نرى إبداعك ونزف قلمك بكل ماهو مفيد
نتمنى أن تستقي أنت ايضا من المنتدى كل ماهو مفيد
بالتوفيق إن شاء الله
تعلم اللغة الفرنسية
تحية طتحية طتحية طتحية ط
بعد التحية و السلام اخواني اخواتي اعضاء مشرفين و زوار منتديات خنشلة التعليمية اقدم لكم في هذه الصفحة بعض الدروس للغة الفرنسية و خاصة للمبتدئين و هذهبعض قواعد النطق للحالات الخاصة في اللغة الفرنسيةوهذا الموضوع هو متمم الموضوع السابق بنفس العنوان
2- عندما يكون حرف h في بداية الكلمة فإنه لا يلفظ إطلاقاً ويطلق عليه في هذه الحاله اسم " h صامتة " ، مثال:
مستشفى hôpital
رجل Homme
مشرف Honnorable
3- عندما يكون حرف s بين حرفين متحركين فإنه يلفظ مثل حرف z ، مثال:
يزن Peser
سم poison
الحروف المتحركة هي A,E,I,O,U,Y,H muet
4- عندما يتبع الحرف o بالحرف u فإنه يلفظ مثل "أو" مضمومة، مثال:
مسمار Clou
الفم Bouche
5- عندما يتبع الحرف o بالحرف I فإنه يلفظ مثل (وا) ، مثال:
عصفور Oiseau
يعتقد Croire
6- التراكيب التالية المكونة من eau و au تنطق تماماً مثل حرف o ، مثال:
هدية Cadeau
قصر Château
أعمال Travaux
7- حرفي s و x الدالين على الجمع في نهاية الكلمة لا ينطقان ، مثال:
أعمالTravaux
شعر Cheveux
أقلام Crayons
حدائق Jardins
8- ينطق حرفي gh مثل الغين، مثال:
غادة Ghada
9- ينطق حرفي kh مثل الخاء ، مثال:
خلود Kholoud
10- ينطق حرفي th مثل الثاء ، مثال:
علاج Thérapie
11- قد لا ينطق حرف h عند اضافته لحرف t ، مثال:
مسرح Thêatre
مقياس الحرارة Thérmomètre
12- قد ينطق حرفي ph مثل الفاء ، مثال:
صورة photo
فلسفة philosophie
13- عندما يتبع حرف u بحرف I أو حينما تسبق التركيبة نفسها بحرف o فإنها تلفظ مثل ( وي ) :
نعم Oui
المساء Nuit
اظغط على الرابط
http://www.4040404040404040guide.org/francai…se_compose.jsp
اظغط على الرابط اسفل
http://www.internetpolyglot.com/fren…son-2401201300
السلام عليكم ورحمة الله وبركاته
برنامج رائع جدا جدا
يعلمك بالفرنسيه اسماء الحيوانات مع نطقها اتمنى لكم الاستفاده منه
لتحميل البرنامج
من المرفقااااااااااااااااات
[RIGHT] الملفات المرفقة 7f282e67bd.rar‏ (583.7 ك/بايت)
|
||
وان شاء الله تستفيد من هذا البرنامج
السلام عليكم ورحمة الله وبركاته
الفاتحة
[
au nom d’allah le tout miséricordieux louange à allah . seigneur de l’univers le tout miséricordieux.le très miséricordieux maitre du jour de la rétribution c’est toi (seul que nous implorons secours guide-nous dans le droit chemin le chemin de ceux que Tu as comblés de faveurs non pas de ceux qui ont encouru Ta colère. ni des égarés |
||
]
ان شاء الله نكون من المهتدين
informative, Lettre
de demande
ou remerciement
Petite annonce
بسم الله الرحمان الرحيم
أهلا بأعضاء و مشرفي و زوار منتدانا الكرام
أما بعد
دائما نتطلع للأفضل للرقي بالمنتدى
جديد اليوم دليل اللغة الفرنسية للسياح و للمهتمين بتعلم هذه اللغة
ويشمل الكتاب على : أحرف الهجاء , مصطلحات في النطق , أفعال كثيرة الإستعمال , الصفات و الألوان
و الكثير تجدونه في الداخل
التحميل من هنا
بالتوفيق إنشاء الله
و جزاك خيرا
و نفع بك امته
و زاده الله في ميزان حسناتك
سلمت يداك
ET POPULAIRE
ECOLE NORMALE SUPERIEURE DES LETTRES ET SCIENCES HUMAINES – BOUZAREA FORMATION A DISTANCE DES PROFESSEURS D’ENSEIGNEMENT FONDAMENTAL
PROFIL
: PROFESSEURS DE FRANÇAIS
MODULE
: GRAMMAIRE CORRECTIVE
NIVEAU :
3ème ANNEE ENVOI N° 1
Document réalisé par D. ATTATFA Maître de conférences ENS / LSH – BOUZAREA ANNEE UNIVERSITAIRE : 2022 – 2022
1. Objectifs du module :
Ce module vise à faire acquérir aux enseignants une quadruple compétence :
– repérer les erreurs dans les productions des élèves ;
– les classer en fonction de leur nature ; – en expliquer la cause ; – les corriger. 2. Programme du module :
Partie théorique :
(envoi n° 1)
– L’aspect incontournable et positif de l’erreur – La distinction erreur / faute – La notion d’interlangue – Les différentes approches de l’erreur – Les différentes grilles de classement des erreurs – L’origine des erreurs
Partie pratique :
(envois n° 2 et 3)
Analyse de productions d’élèves – inventaire des erreurs – interprétation des erreurs – rappels des règles transgressées – correction des erreurs 2 ENVOI N° 1
3 1. Statut de l’erreur :
L’erreur a longtemps été considérée comme éminemment négative, dans la mesure où l’on pensait qu’elle constituait un obstacle à l’apprentissage de la langue. Il y avait une obsession de la faute et on considérait qu’il fallait lui faire une chasse impitoyable. Mais, avec le développement des études en didactique, les choses ont évolué. Enseignants et chercheurs sont maintenant d’accord sur deux points :
– l’erreur est incontournable dans 4 en place un programme axé sur des besoins précis et urgents.
2. Erreur et norme :
Pour classer une forme linguistique comme erreur, il faut d’abord avoir défini la norme que l’on prend en considération : langue standard ou langue familière par exemple.
On peut distinguer grosso modo la "norme", qui correspond à ce que l’on "doit" dire, et "l’usage", qui correspond à ce que la plupart des gens disent. Mais une sociolinguiste, Marie-Louise MOREAU1, affine davantage cette opposition et distingue cinq types de normes : – les normes de fonctionnement qui concernent M. L. Moreau, (dir.), Sociolinguistique : concepts de base, Mardaga, Liège, 1997.
5 valeurs aux formes linguistiques ; c’est ainsi que l’on distingue des formes belles, élégantes, par opposition à d’autres jugées familières, relâchées ou vulgaires ;
– les normes fantasmées, résultant d’une conception de "la norme comme un ensemble abstrait et inaccessible" hors de portée des utilisateurs et par rapport auquel tout le monde serait en défaut. Cette classification permet à l’enseignant de se situer lorsqu’il évalue une production d’élève. Exemple : quand l’élève écrit "Je vais au coiffeur", il se réfère à la norme de fonctionnement ; quand l’enseignant le corrige et propose "Je vais chez le coiffeur", il se réfère à la norme prescriptive.
3. La distinction erreur / faute
Beaucoup d’enseignants parlent indistinctement
de faute et d’erreur. En didactique des langues, on fait cependant la différence entre les deux termes : – on dit qu’il y a erreur lorsque l’élève se
trompe parce qu’il n’a pas les moyens de se corriger, n’ayant pas encore étudié la notion en question ; 6 copie, on ne doit pas le sanctionner sur ce qu’il n’est pas censé savoir mais uniquement sur ce qu’il a effectivement étudié.
4. L’interlangue :
Ce terme est apparu en 1972 sous la plume de
Selinker et il a été repris par la suite sous diverses appellations : système approximatif, système intermédiaire, système transitoire, dialecte idiosyncrasique, grammaire intériorisée, langue de l’apprenant, etc. Les recherches faites dans ce domaine ont permis de cerner les principaux traits des interlangues : – aspect systématique, c’est-à-dire que la même erreur apparaît toujours de la même façon dans des contextes identiques ; – aspect instable, c’est-à-dire que le système évolue constamment : des erreurs disparaissent tandis que d’autres apparaissent et l’élève se rapproche progressivement de la maîtrise du système de la langue étudiée ; – perméabilité, c’est-à-dire passage constant de la langue étrangère et à la langue maternelle et inversement ; – phénomènes de simplification ou au contraire de complexification des règles de la langue étrangère ; – phénomènes de régression, c’est-à-dire qu’une erreur qui avait disparu à un moment donné peut réapparaître par la suite ; 7 – phénomène de fossilisation, c’est-à-dire qu’une
erreur peut persister pendant très longtemps et devenir très difficile, sinon impossible à corriger.
5. Les différentes approches de l’erreur :
Différents courants se sont succédé dans ce
domaine : – L’analyse contrastive : Elle a prévalu dans la période 1950 – 1970. Basée sur les travaux de la linguistique structurale et distributionnelle (Bloomfield), elle fait aussi appel à une théorie psychologique, celle du behaviorisme (Skinner). Elle travaille sur le concept de transfert de la langue 1 (langue maternelle) à la langue 2 (langue étrangère), qui peut être positif ou négatif. Ce qui est proche ou sem****le est facile à apprendre ; ce qui est différent donnera lieu à un transfert négatif et donc à des erreurs, c’est la théorie des interférences. Intervenant a priori, elle travaille sur la comparaison de la L1 et de la L2 pour déterminer les difficultés que les apprenants risquent de rencontrer. On ne part donc pas des erreurs commises, on essaie plutôt de les prévoir et d’agir de manière à les faire éviter. Il se pose cependant un problème, à savoir que les erreurs commises ne sont pas toujours celles qui étaient prévues. 8 Charles-Pierre BOUTON2 écit à ce sujet :
"On
ne parvient à créer, avec la langue seconde, un second comportement verbal spontané qu’en construisant, à partir d’un système d’habitudes acquis avec la langue maternelle, un nouveau système aussi complexe et conforme aux contraintes spécifiques de cette langue seconde." L’apprentissage est considéré ici comme un
conditionnement. Ce courant, représenté essentiellement par des chercheurs comme Fries, Lado, Py et Noyau, postule que la langue 1 doit absolument être évacuée de l’apprentissage et qu’il n’y faut faire aucune référence, ni pour traduire des notions difficiles à expliquer ni même pour donner des consignes. La théorie des interférences a été développée par Francis DEBYSER en 1971, qui la définit selon trois points de vue : – un point de vue psychologique : elle est considérée comme une contamination des comportements verbaux ; – un point de vue linguistique : c’est le résultat d’un accident de bilinguisme dû au contact des langues (langue maternelle et langue étrangère) ; – un point de vue pédagogique : c’est un type particulier d’erreur dû à la structure de la langue maternelle. De nombreux travaux ont utilisé cette théorie pour élaborer des manuels basés sur la comparaison 2 C.–P. Bouton, L’acquisition d’une langue étrangère, Paris, Klincksieck, 1074.
9 |
||
same/di
di/manche
تلاحظون أ ن كل الأيام تنتهي بdiإ لا الأحد يبدأ بdi وdi في اللغة اللاتينية يعني يوم
lun/diأ ول أ يام الأسبوع jour de lune يعني يوم القمر
mar/di ثاني أ يام الأ سبوع jour de mars يعني يوم المريخ
mercre/di ثالث أيام الأ سبوع jour de mercure يعني يوم عطارد
jeu/di رابع أيام الأ سبوع jour de jupiter يعني يوم المشتري
vendre/di خامس أ يام الأسبوع jour de venus يعني يوم الزهرة
same/di سادس أ يام الأ سبوع jour de sam يعني يوم السامري عند اليهود لذا نهى صلى الله عليه وسلم من صومه
di/manche سابع أ يام الأسبوع jour de
seigneur يعني يوم الإ له باللاتينية dominicus
Timgad est une ville du Nord-Est de l’Algérie située dans la wilaya de Batna dans les Aurès, surtout connue pour les vestiges de la ville romaine de Thamugadi à côté de laquelle elle est fondée. C’est un site archéologique de premier plan. La ville romaine, qui portait le nom de Thamugadi (colonia Marciana Traiana Thamugadi) dans l’Antiquité, a été fondée par l’empereur Trajan en 100 et dotée du statut de colonie. Il s’agit de la dernière colonie de déduction en Afrique romaine. Bâtie avec ses temples, ses thermes, son forum et son grand théâtre, la ville, initialement d’une superficie de 12 hectares, finit par en occuper plus d’une cinquantaine. La ville, au vu de son état de conservation et du fait qu’on la considérait comme typique de la ville romaine, a été classée au patrimoine mondial de l’humanité par l’UNESCO en 1982. La conservation du site soulève cependant un certain nombre de problèmes.
Historique de la ville Localisation de Timgad (Thamugadi) dans l’Afrique romaine Le nom de Thamugadi "n’a rien de latin", et Timgad, du singulier Tamgut, est une appellation berbère signifiant « sommet » . On ne peut cependant savoir si un habitat préexistait à la colonie romaine ou s’il ne s’agissait que d’un nom de lieu. C’est en 100 que Trajan fit procéder à la fondation de la cité par la Troisième légion Auguste et son légat Lucius Munatius Gallus. Les habitants de Timgad avaient donc tous la citoyenneté romaine et furent inscrits dans la tribu Papiria. La colonie prit le nom de colonia Marciana Traiana Thamugadi : Marciana rappelle le nom de la sœur de Trajan et Thamugadi, nom indéclinable et non latin, est vraisemblablement le nom indigène du lieu. On ne sait pas cependant s’il y avait déjà une agglomération africaine sur place : la fondation romaine se déploya cependant comme si elle se trouvait en terrain vierge. Le plan initial de Timgad, quadrangulaire et géométrique atteste de cette fondation suivant les principes des gromatici, les arpenteurs romains. La rigueur de la planification de l’espace urbain fit que Timgad est souvent cité comme exemple de ville romaine, il serait toutefois erroné de généraliser à partir de son cas : les plans de villes romaines avaient d’abord pour principe de s’adapter au terrain et aux contraintes du lieu, le parfait déploiement quadrangulaire de Timgad n’est pas une règle, et la colonie légèrement antérieure de Cuicul présente un plan moins régulier. La forte régularité du plan initial a donc parfois conduit à penser que Timgad avait pu être un camp militaire avant d’être une ville, la fondation coloniale réutilisant le tracé des cantonnements militaires : cette hypothèse n’est pas prouvée et rien n’indique que Timgad ait pu servir de camp provisoire à la troisième légion Auguste. La fondation de Timgad prend cependant pleinement son sens lorsqu’on la replace dans l’histoire des déplacements de la légion africaine. La déduction de la colonie se trouve en effet entre la première installation d’une cohorte légionnaire à Lambèse, en 81, et l’installation définitive de toute la légion vers 115-120. Si Timgad est remarquablement bien situé, il faut reconnaître au site de Lambèse une meilleure position stratégique.
On pensa en effet souvent, jusque dans les années 1960-1970, que le massif n’avait pas été pénétré par Rome, et qu’en conséquence il avait constitué un foyer de rébellion et une menace, à l’instar d’autres périodes de l’histoire, et l’on interprétait le dispositif militaire romain comme l’encerclement du massif. Les prospections archéologiques et l’analyse des photographies aériennes menées par Pierre Morizot ont apporté un démenti à cet image : l’Aurès était cultivé, occupé par un habitat dispersé et la présence militaire y était faible et très ponctuelle. L’archéologie révèle donc une montagne tranquille, sans troubles sérieux, à la vocation essentiellement rurale, à la richesse modeste, mais ouverte à la romanisation et plus tard à la christianisation. Une partie du massif – la vallée de l’oued Taga – appartenait donc au territoire de Timgad et constituait un piémont aux productions complémentaires des terroirs céréaliers plus proches de Timgad : olive, bois et petit bétail. La fondation de la colonie de Timgad ne peut donc pas s’expliquer en termes de nécessité militaire, mais participe plutôt de l’exploitation du territoire provincial et de son maillage par des espaces civiques conçus comme l’effigie du peuple romain, dans le cadre de la politique volontariste d’un empereur soucieux d’expansion. Timgad toutefois fut le dernier cas de déductions collectives de vétérans en Afrique, et par la suite les nouvelles colonies ne furent plus qu’honoraires, c’est-à-dire un titre conféré à une cité sans apport de population romaine |
||
Le meilleur partie de la vie .
Contient les bonheurs d’une fille.
D’une fille rêveuse .
Imagine des Choses merveilleuses.
Et une vie prestigieuse .
Malgré quelle passe des moment noir.
Mais elle ne coupe jamais l’espoir .
Car la vie est un devoir .
C’est une petite Histoire !
Reflète mon regard dans la miroir
La miroir des Bonnes souvenirs.
Et les meilleurs loisirs ; Quand on les passé avec les amis
On crois que c’est une paradis.
Mais quand on réveille on dis c’est la vie !
On gagne l’expérience.
A partir de l’âge D’adolescence .